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C'est la fin de cette séance qui se sera étirée sur le double de la durée prévue, sans pause méridienne. À défaut de vacances, qui sont encore loin pour ma part, je m'accorde un répit pour aujourd'hui, de même que Benoît Gilles qui a assuré l'essentiel de la couverture des débats, et Lisa Castelly qui a emprunté ma signature pour quelques temps. Rendez-vous en septembre pour une prochaine séance !
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La séance se conclut de manière inhabituelle avec une question orale de Cédric Dudieuzère (RN), examinée formellement selon le règlement intérieur. Il s'agit de défendre une rue, une place ou un square, au nom Samuel Paty, professeur assassiné en 2020. Présidente de la commission des noms de rue, Audrey Gatian s'y engage, "après avoir pris contact avec la famille et dans le respect de leur choix", expliquant qu'il était précédemment prévu par le département de nommer ainsi le collège Versailles (3e), idée abandonnée.
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Dans la masse de rapports votés à la chaîne, signalons la reprise en régie directe de la piscine René-Magnac. Le reste de cet important complexe sportif, dont treize terrains de tennis, n'y sera pas intégré.
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La maire des 1/7 Sophie Camard rappelle les principes de base : "Il ne fallait pas laisser la dent creuse telle quelle, ne pas reconstruire un immeuble comme s'il ne s'était rien passait et il fallait associer les familles des victimes." Après plusieurs phases de discussions, la Ville confie à la société publique locale d'intérêt national (SPLA-IN) en charge de la rénovation du centre le soin de poursuivre le projet d'un "lieu ressources, un espace ouvert à tous", "sous la forme d’une architecture temporaire".
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Benoît Payan reprend les élues et élus qui s'apprêtaient à sortir, alors que le rapport arrivant traite de l'avenir du site des effondrement de la rue d'Aubagne. Ce qu'il fait pourtant très rapidement en cédant la présidence de séance à Joël Canicave.
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Commentaire de Marthe
« Je ne regarde pas la couleur politique mais les compétences « . A l’image des recrutements massifs qui ont été faits depuis deux ans … c’est quand même un tissu de mensonges
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Huit heures trente de séance, Benoît Payan esquisse un geste typique de son prédécesseur, une agitation des doigts à l'adresse de l'hémicycle pour marquer une digression (sur le livre "La gloire de mon père" offert, "bien avant cette polémique").
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Au terme de son intervention, le maire durcit le propos mais pas le ton, qui reste calme : "Être l'héritier de Marcel Pagnol, ça donne des droits, des dividendes, mais surtout des devoirs, quelque chose de bien plus grand que soi, cela commande d'avoir de l'honneur."
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Le récit du maire arrive à nos jours. Et au moment où Benoît Payan a appelé Nicolas Pagnol pour l'avertir du changement de gestionnaire : "On m'a demandé de revenir sur le choix d'un délégataire (...) ça m'a interrogé (...) Quel était l'intérêt de me dire de reculer sur ce choix ?".
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"J'ai aussi senti l'idée qu'on lui aurait enlevé le château de la Buzine parce qu'elle aurait fait un bout de chemin avec l'UMP. Je ne regarde pas la couleur politique mais les compétences", conteste-t-il plus tard.
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